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Galerie STRID
« la galerie Strid propose de découvrir ou redécouvrir cette année deux artistes de la région Bretagne :
- Martine Kerbaol, une sculptrice exceptionnelle, elle est diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués et de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris ou elle étudie la sculpture monumentale dans les ateliers Henri-Georges Adam. Lauréate de nombreux concours de commande publique, Martine réalise des oeuvres monumentales pour plusieurs villes et établissements publics.
"Les enfants frêles de Kerbaol, happés, saisis par ce que leur apprend leur éveil au monde…dépouillés de toute volonté de séduire….offrent leur paix interieure…le corps et l’esprit funambules, éprouvant cette symbiose de l’etre avec son milieu….ce qui compte pour les libres enfants de Kerbaol, ce n’est pas tant le moyen d’expression que le fait d’exprimer, en toute jouissance, et de nager ainsi dans le bonheur, qui est de vivre pleinement. »
- Hughes d’Achon à fait ses études à Paris, il est diplômé de l’Ecole Boulle.
Après un début de carrière auprès du grand architecte Marc Held qui eu une grande influence sur son avenir, il s’est installé dans la région nantaise pour se rapprocher de la Bretagne, pays fondateur de son enfance ou, par le regard attentif d’un grand père peintre, il a découvert la beauté de la nature et l’enchantement de la lumière.
Il a été enseignant à l’école régionale des Beaux-Arts pendant plus de 20 ans, tout en menant une carrière d’architecte en s’associant avec Francois Bureau et Jacques Carrière en créant le Cabinet Bureau d’Achon.
Passionné par la peinture, très jeune il recevra la médaille de bronze de l’Académie Européenne des Arts. Il a très souvent exposé dans la région nantaise et à Paris, puis dans le Morbihan ou il réside maintenant avec sa famille.
« La lumière est pour moi le phénomène naturel le plus émouvant, celui capable de produire au fond de mon être ce petit choc par lequel je reconnais que je viens de rencontrer quelque chose de rare, quelque chose qui ressource le désire de vivre….le désir aussi de vouloir posséder cet instant de le retenir par la peinture, retenir le temps. Et bien sur, c’est illusoire. Alors on recommence, encore et encore. …car être peindre, c’est toujours recommencer. «
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